mercredi 26 septembre 2007

Aux dieux de rosée

Des dieux légers pèsent sur nous de notre mortelle peur étonnés se mesurent à nos heures comptées oscillant de l’indifférence au courroux Et rompu en ce monde ébahi refais cent fois le chemin que déjà des milliers ont pris sous le même manteau-destinée Nulle prudence ne saurait garder de l’afflux naturel et sauvage qui grisonne mes heures perdues au désordre que je sème partout Reste à l’avenir cet enfant solitaire amoureux fou d’une jeune fille vie qu’il étreint importun dans le temps bien avant que viennent les adieux Mais les mots anciens ici retracés caressent en esprit l'âme affolée allez ! ris de ce monde de rosée juste avant que d’être évaporé

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