mercredi 26 mai 2010

Le dernier Falardeau

Des amis qui connaissent mon amour des livres m'ont gentiment offert une carte cadeau d'une librairie. Je l'ai utilisée pour m'acheter le dernier livre de Pierre Falardeau, Rien n'est plus précieux que la liberté et l'indépendance. Ça me fait bizarre de l'écrire, mais il s'agit inévitablement du véritable « dernier Falardeau ». Comme dans les deux premiers recueils d'articles, La liberté n'est pas une marque de yogourt et Les bœufs sont lents mais la terre est patiente, on retrouve la passion du cinéaste pour l'indépendance du Québec, mais ce n'est là qu'une facette de son profond amour pour la liberté en général qui s'enflamme à chaque page. Ça fait tellement de bien de passer un peu de temps avec un esprit libre... Si vous sentez que vos poings baissent, que vous ressemblez de plus en plus à ceux que vous haïssiez il y a à peine quelques années, si, enfin, votre dos vous fait mal à force de trop le courber, plongez vous dans ce terrible livre de vie, de liberté de parole et d'authenticité, trois choses qui ne peuvent que vous faire du bien.


2 commentaires:

  1. Je n'ai rien lu de Falardeau. Je m'imaginais bien le connaître à force de le voir un peu partout dans les médias.

    Je devrais peut-être le lire...

    Accent Grave

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  2. Si tu le recommande, alors j'y accorderai mon esprit le temps de parcourir cette oeuvre.

    Mathieu.

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