jeudi 15 novembre 2012

La paranoïa de Barbara Kay

Pour amener l'adversaire à accepter un point de vue contraire
à ses intérêts, la propagande doit, au préalable, créer l'atmosphère
factice qui déterminera chez l'adversaire l'aberration suffisante
pour qu'il se laisse duper.

--- André Chéradame


Mon ami Yves insiste depuis quelques jours pour que j'écoute une entrevue des Francs Tireurs accordée par Barbara Kay, chroniqueuse virulente du National Post, à Richard Martineau. Eh ! Bien, je viens de l'écouter... 

Feu Falardeau aurait sans doute dit : « Une tabarnac de folle ». Je dis : « Une enragée dont parlait le poème Speak White, doublée d'une pyromane politique à tendance paranoïde. » Cette femme est dangereuse, d'autant plus que ses chroniques sont lues par des dizaines de milliers d'anglophones du Canada qui prennent leurs informations sur le Québec dans ce journal tiré à 325 000 exemplaires.

Il faut écouter cette entrevue au complet. Malgré un début relativement bon enfant, ça se corse au milieu, avec une dernière partie complètement délirante.

L'entrevue est ici.

La chronique à laquelle on fait référence dans l'entrevue est ici.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire