mercredi 22 mars 2006

Cui prodest, is fecit

"...IF 21 YEAR-OLD WASHINGTON, DC RISING INTERNET MEDIA STAR DYLAN AVERY CAN EASILY RECOGNIZE CLEAR EVIDENCE OF A GOVERNMENT COVER-UP OF THE TRUTH ABOUT THE SEPTEMBER 11 ATTACKS, WHY CAN'T AMERICANS OF ALL AGES?" -Tom Flocco, http://www.tomflocco.com
Dylan Avery est un jeune scénariste des États-Unis qui a eu, en mai 2002, l’idée d’écrire un scénario sur l’attentat du 11 septembre 2001. Dans la fiction qu’il prévoyait construire, l’attaque contre le World Trade Center et le Pentagon n’était pas menée par des terroristes étrangers, mais bien par le gouvernement états-unien lui-même. Fiction surréaliste, s’il en est une, qu’il fallait construire, pour lui donner un semblant de vraisemblance, autour de solides recherches factuelles. Dans les deux années suivantes, il s’est avéré, au grand étonnement du principal intéressé, que sa théorie romanesque était très près de la vérité, trop près pour qu’il ne s’agisse que d’un hasard. De ces découvertes stupéfiantes est né le documentaire Loose Change. Dans Loose Change, que plusieurs ont qualifié avec raison de documentaire terrifiant, Dylan Avery et son équipe nous font naviguer sur des faits solides qui remettent en question de façon évidente la version officielle du gouvernement de Bush soutenue à bout de bras par la presse officielle états-unienne. L’approche est simple, l’ambiance judicieuse, la musique originale parfaitement adaptée et les preuves… chirurgicales. Avec ses nombreux extraits vidéos et audios, ses études scientifiques, ses analyses et ses commentaires, le film prouve entre autres : Que les tours jumelles n’ont pu s’effondrer ainsi en poussière suite aux collisions des avions. Que de nombreuses charges d’explosifs ont éclaté sur tous les étages des trois immeubles qui se sont effondrés. Qu’aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagon. Que certains États-Uniens bien placés connaissaient la date et l’heure des attaques avant le 11 septembre. Qu’Oussama ben Laden et Al-Qaida n’ont probablement rien à voir avec ces attentats. En outre, il suggère une hypothèse appuyée de puissants arguments pour expliquer pourquoi une telle attaque aurait été menée de l’intérieur même du territoire états-unien. Mais vous vous en doutez certainement : où il y a du meurtre institutionnalisé, il y a de l’argent et du pouvoir… La locution latine en titre est vieille de plusieurs siècles. Et pourtant, elle conserve encore aujourd’hui toute sa valeur : à qui le crime profite, celui-là l'a commis. Loose Change nous en donne la preuve. Et celle aussi qu'on n'a pas fini de se faire berner. Première partie du film Deuxième partie du film Site officiel : http://www.loosechange911.com/

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