vendredi 18 novembre 2005

Mots de Mer III

Même si on lacérait leurs voiles, si on perçait la coque de leur navire, si on faisait surgir au loin l’ombre d’un typhon, il s’en trouverait encore des entêtés qui rameraient avec leurs mains. S'ils sont capables de continuer à vivre comme ils le font, c'est qu'on a réussi à leur faire croire qu'un jour ce sera différent : dans ce monde-ci ou dans un autre. ------------------------------------ P.S. Pour savoir pourquoi il n'y a pas de Mots de mer entre Mots de mer I et Mots de mer III, prière de vous adresser à Guillaume le Conquérant ou d'aller voir les commentaires de Mots de mer I.

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