mercredi 13 décembre 2006
Paradis perdu
La différence est dans la capacité à fuir, dans l’habileté à mettre des guirlandes un peu partout, dans l’aptitude à jouer sans relâche le rôle qu’il faut, et, aussi, dans l’infinie docilité exigée par la contingence de vivre.
D’un côté : ceux qui savent tout ça; de l’autre : ceux à qui manque chaque jour le paradis perdu.
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Quelle est cette force qui permet que par la pensée nous puissions sentir la chute physiquement ?
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Malheur à celui qui, voyant les décorations du temps des fêtes sur chaque demeure, s’écrie : « À quoi bon ? » ! À moins que celui-ci n'éclate d'un rire étrange, celui du fou de Fao.
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Il suffit parfois d'une seule phrase, voire d'un seul mot, pour que la perception que l'on a d'une chose ou d'un être soit modifiée à jamais. C'est le coup de langue et ses conséquences.
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