jeudi 10 mai 2012

Michard Rartineau et le français

Voici un petit jeu : dans le texte suivant écrit par notre grand Michard Rartineau, trouvez les fautes de français.

                                                Cliquez sur l'image pour la voir en plein écran.

En passant, ce texte est une saisie d'écran du blogue de Michard. Aucun trucage. Je ne crois pas qu'il va corriger, mais on ne sait jamais.

Vous avez trouvé ? Je vous donne les réponses :

1. Premier avec un « P » majuscule dans l'expression « premier ministre ». Bon, ce n’est pas si grave et la règle n'est pas toujours claire : - 0,5

2. « minitre », sans « s ». Faute de frappe, je l'espère, mais quand on est journaliste, se relire devrait être un réflexe : - 1

3. « à rabais ». Michard devrait savoir qu'on doit utiliser l'expression « au rabais » plutôt qu' « à rabais ». Mais non, il ne le sait pas: - 1

4. « péquistes » doit s'écrire avec un « p » minuscule : - 1

5. « ceux qui n’ont pas assistés au minimum de cours requis »... Ishhhhh! « assisté » ne prend pas de « s ». Une règle de base qu'on apprend au primaire... - 1

6. « De toutes façons » : « toute » sans « s » et « façon » sans « s » monsieur le journaliste. -2


C'est à peu près tout, si on laisse de côté les tournures fragiles et les expressions populistes. C'est beaucoup.

Non seulement Michard ne sait pas penser, mais il ne sait pas écrire. Coudonc, qu'est-ce que ça prend pour travailler au Journal de Mouréal ? Pas grand-chose on dirait bien, à part peut-être des petites idées de Baby-Boomer en colère. Pas de fond, pas d'idées, pas de talent... C'est triste de penser que tant de gens l'ont élu pour penser à leur place.

On commence à mieux comprendre pourquoi le gros enfant gâté tape du pied quand on parle d'université gratuite.

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